Quel jour est-on ?
Je n'en sais rien,
Ça change toujours au lendemain
Les heures tournent
Toujours pareilles
Oui mais je n'ai jamais sommeil
Car je m'en fous
Ouais, j' m'en fous
Tout est bien triste autour de moi
Dans cette ville que je n'aime pas
La neige tombe sur les toits
Moi, je suis tout seul
Et il fait froid
J' m'en fous
Ouais, j' m'en fous
Je marche seul dans la nuit noire
La lune est pâle comme un espoir
La fille que je devais voir
N'était pas au rendez-vous ce soir
Mais j' m'en fous
Ouais, j' m'en fous
J' m'en fous
Ouais, j' m'en fous
J'ai pas une cigarette sur moi
Et il fait d' plus en plus froid
Le vent efface tous mes pas
Une fille toute seule passe près de moi
Mais j' m'en fous
Ouais, Je m'en fous
Je m'en vais tout seul au hasard
Pour vivre il n'est jamais trop tard
J'arrive à ne plus rien y voir
Avec tout l'alcool que j'ai pu boire
Mais j' m'en fous
Ouais, j' m'en fous {x3}
Tu ne savais même pas danser
T u ne savais même pas chanter
Tu n'avais rien vraiment rien pour plaire
Qu'un tout petit air de misère
Je me moquais toujours de toi
Maintenant que tu n'es plus là.
J'ai tant de peine, j'ai tant de peine
Et sur les joues malgré moi des larmes me viennent
J'ai tant de peine, j'ai tant de peine
Je ne sais vraiment pas pourquoi j'ai de la peine.
Tu n'étais ni beau, ni galant
Et bien loin d'un prince charmant
Tu n'étais pas intelligent
Tu n'étais pas très amusant
Je me moquais toujours de toi
Maintenant que tu n'es plus là.
J'ai tant de peine, j'ai tant de peine
Et sur les joues malgré moi des larmes me viennent
J'ai tant de peine, j'ai tant de peine
Je ne sais vraiment pas pourquoi j'ai de la peine.
Tu n'étais pas très courageux
Tu n'étais pas très amoureux
Tu étais toujours en colère
Contre le restant de la terre
Je me moquais toujours de toi
Maintenant que tu n'es plus là.
J'ai tant de peine, j'ai tant de peine
Et sur les joues malgré moi des larmes me viennent
J'ai tant de peine, j'ai tant de peine
Et c'est peut-être simplement parce que je t'aime.
J'ai tant de peine, j'ai tant de peine
Et sur les joues malgré moi des larmes me viennent
J'ai tant de peine, j'ai tant de peine
Et c'est peut-être simplement parce que je t'aime.
J'ai tant de peine ... ...
Ma mie, de grâce, ne mettons
Pas sous la gorge à Cupidon
Sa propre flèche
Tant d'amoureux l'ont essayé
Qui, de leur bonheur, ont payé
Ce sacrilège...
R:
J'ai l'honneur de
Ne pas te de-
mander ta main
Ne gravons pas
Nos noms au bas
D'un parchemin
Laissons le champs libre à l'oiseau
Nous seront tous les deux priso-
nniers sur parole
Au diable les maîtresses queux
Qui attachent les curs aux queues
Des casseroles!
+R:
Vénus se fait vielle souvent
Elle perd son latin devant
La lèchefrite
A aucun prix, moi je ne veux
Effeuiller dans le pot-au-feu
La marguerite
+R:
On leur ôte bien des attraits
En dévoilant trop les secrets
De Mélusine
L'encre des billets doux pâlit
Vite entre les feuillets des li-
vres de cuisine.
+R:
Il peut sembler de tout repos
De mettre à l'ombre, au fond d'un pot
De confiture
La jolie pomme défendue
Mais elle est cuite, elle a perdu
Son goût "nature"
+R:
De servante n'ai pas besoin
Et du ménage et de ses soins
Je te dispense
Qu'en éternelle fiancée
A la dame de mes pensées
Toujours je pense
Mais qu'est-ce que j'ai, mon vieux ?
Je suis peut-être amoureux
Le dix-huitième arrondissement
Est un quartier bien troublant
Depuis qu'on me l'a présentée
Je ne pense qu'à la retrouver
Je la croise tous les matins
Quand elle va acheter son pain
{Refrain:}
Lolita (Eh oui)
Lolita (Eh oui)
Elle s'ra bientôt à moi
(Redis ça, mon vieux)
Lolita (Eh oui)
Lolita (Eh oui)
Elle s'ra bientôt à moi
(Allez-y, mon vieux)
J'habite rue de la Martinique
Elle habite rue de la Guadeloupe
Le dix-huitième arrondissement
Est un quartier épatant
J'ai rendez-vous, c'est magnifique
Il faudra pas que je la loupe
Bon, salut, je file maintenant
Devant sa porte, elle m'attend
{au Refrain}
Elle m'a offert le thé
Dans son salon bien décoré
Dans le dix-huitième arrondissement
Il y a des endroits charmants
Elle a décoré son appartement
Elle déplace les meubles très souvent
C'est vraiment une passion
Elle m'a montré cent dispositions
{au Refrain}
Je l'avais vraiment charmée
Je suis même resté à dîner
Dans le dix-huitième arrondissement
Les filles ont tous les talents
Mais, Dieu que c'est étrange
Après le canard à l'orange
Elle m'a dit «Tu es très beau
N'oublie pas mon petit cadeau»
Lolita (Eh oui)
Lolita (Eh oui)
Quelle mentalité tu as
(Oh la la, mon vieux !)
Lolita (Eh oui)
Lolita (Eh oui)
Vraiment, tu me déçois
(C'est vrai, mon vieux)
Et tant pis, puisque c'est comme ça
J'irai retrouver Johanne
(Qui c'est ça, mon vieux ?)
Une amie américaine à moi
Qui habite rue de la Louisiane
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